Fonctions économiques de la lettre de change et du chèque.
La lettre de change a trois fonctions essentielles :
1° - Elle est un instrument de paiement. Utilisée comme une sorte de monnaie de papier, elle permet au
commerçant d'effectuer des paiements sans avoir recours à la monnaie métallique;
2° - Elle évite les transports de numéraire, puisqu'elle peut le remplacer dans les paiements;
3° - Elle est un instrument de crédit, grâce à l'escompte : opération par laquelle un banquier devient
propriétaire des effets qui lui sont endossés par le tireur ou le dernier porteur, et auquel il paie immédiatement
le montant, sous déduction d'une retenue appelée agio.
Le chèque, par contre, est avant tout un instrument de paiement, cette fonction se fait par l'intermédiaire des
banques qui "compensent" entre elles les titres de cette nature dont elles sont porteuses, dans les "chambres
de compensation" ou clearing houses".
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19 oct. 2010
Les Gestes Elémentaires du Survie
Et c'est pourquoi seul sera nécessaire un rappel succinct des notions fondamentales.
Comme vous le savez déjà, la conduite des premiers témoins, dans toutes les formes d'accident possibles, peut se résumer en deux sigles /
P. A. S
(Protéger, Alerter Secourir
et
A. B. C.
(Allonger, Bouche à bouche, Compression.
A - PROTÉGER.
Plus que partout ailleurs, plus que dans toutes les autres formes d'accident, cette notion recouvre un ensemble d'actions indispensables à la survie des victimes et à la sauvegarde des témoins ou autres urgences de la route.
Tout d'abord, nous citerons la signalisation des lieux des accidents qui a pour objectif d'éviter le sur-accident.
Ces menaces relèvent évidemment des services spécialisés :
- police municipale en territoire urbain ;
- gendarme sur les routes ;
- sociétés d'exploitation sur les autoroutes.
Mais, entre le moment de l'accident et l'arrivée de ces services, un temps plus ou moins long s'écoule au cours duquel des mesures urgentes doivent être prises par les premiers témoins.
Au préalable, garer convenablement leur propre véhicule :
- mesurer rapidement un balisage de la route ;
- prévenir l'incendie, éventuellement le combattre et en même temps prévenir toute autre forme de sur-accident :
- donner l'alerte.
PROCEDES D'EXTINCTION
L'extinction d'un feu peut être obtenue :
a)- Par étouffement :
L'oxygène étant indispensable à la combustion, il suffit, sauf cas particuliers, de soustraire le foyer du contact de l'air (un morceau de papier bien allumé enfermé dans une boîte, même en carton, s'éteint. L'air manque et y a privation d'oxygène. On obtient un résultat analogue en piétinant un tissu, une herbe sèche, une matière peu étendue en feu).
b) - soufflage :
Bougie, feux de puits de pétrole ou de forages de gaz naturel.
c) - Par refroidissement :
En ramonant le combustible qui brûle au-dessous de sa température d'inflammation.
d) - Par l'obstruction d'une conduite ou la fermeture d'un robinet :
Une fuite de gaz de ville enflammée est arrêtée soit en barrant au compteur ou au coffret, soit en aplatissant la conduite en plomb. Même mode d'action sur une canalisation d'essence, de gaz liquéfié.
e) - En coupant le courant électrique qui est une source de chaleur :
On peut arrêter ainsi la combustion des matières qui entourent ou voisinent la canalisation ou l'appareil électrique.
f) Par dispersion :
Les éléments constitués du foyer étant séparés les uns des autres, la température de l'ensemble s'abaisse et peut devenir insuffisante pour que la combustion soit entretenue. Le déblai, notamment, concourt à l'extinction par dispersion.
g) - En réduisant la part du feu :
On pratique une tranchée dans un tas de charbon pour séparer la partie qui brûle de la partie intacte. Le feu s'éteint de lui-même, faute de combustible.
En somme, on agit par ces procédés séparément ou en même-temps, sur les trois facteurs d'une combustion : le combustible (d et f), le comburant (e), la température d'inflammation (b, c, e).
a)- Par étouffement :
L'oxygène étant indispensable à la combustion, il suffit, sauf cas particuliers, de soustraire le foyer du contact de l'air (un morceau de papier bien allumé enfermé dans une boîte, même en carton, s'éteint. L'air manque et y a privation d'oxygène. On obtient un résultat analogue en piétinant un tissu, une herbe sèche, une matière peu étendue en feu).
b) - soufflage :
Bougie, feux de puits de pétrole ou de forages de gaz naturel.
c) - Par refroidissement :
En ramonant le combustible qui brûle au-dessous de sa température d'inflammation.
d) - Par l'obstruction d'une conduite ou la fermeture d'un robinet :
Une fuite de gaz de ville enflammée est arrêtée soit en barrant au compteur ou au coffret, soit en aplatissant la conduite en plomb. Même mode d'action sur une canalisation d'essence, de gaz liquéfié.
e) - En coupant le courant électrique qui est une source de chaleur :
On peut arrêter ainsi la combustion des matières qui entourent ou voisinent la canalisation ou l'appareil électrique.
f) Par dispersion :
Les éléments constitués du foyer étant séparés les uns des autres, la température de l'ensemble s'abaisse et peut devenir insuffisante pour que la combustion soit entretenue. Le déblai, notamment, concourt à l'extinction par dispersion.
g) - En réduisant la part du feu :
On pratique une tranchée dans un tas de charbon pour séparer la partie qui brûle de la partie intacte. Le feu s'éteint de lui-même, faute de combustible.
En somme, on agit par ces procédés séparément ou en même-temps, sur les trois facteurs d'une combustion : le combustible (d et f), le comburant (e), la température d'inflammation (b, c, e).
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