Messages les plus consultés
-
1° Dans les accidents par décélération importante le corps humain subit trois types de dommages (l'arrêt brutal de la voiture ...
-
A - Principes Généraux . La présence d'un certain nombre de signes extérieurs tels que : - grande étendue ou profondeur de ...
-
Il faut intervenir immédiatement, car la lésion s'établit dès le contact du produit chimique et continue à s'aggraver aussi longtemp...
-
Les gaz à effet de serre émis par les activités humaines sont bien la cause du réchauffement climatique. Les émissions de CO2 représentent 7...
-
Le balisage a pour but essentiel d'éviter le sur-accident . Il doit être installé à 150/200 mètres environ dans les deux s...
-
La désincarcération doit pour être efficace, respecter des principes de manœuvres et des séquences d'action. Mais le secouriste rou...
-
I - Objectif à atteindre - Règles à observer. La pratique classique du secourisme consiste à donner les premiers soins à un accidenté en l...
-
Nature de la commission de transport .- La commission de transport était extrêmement fréquente lors de la rédaction du Code de commerce. El...
vendredi 16 novembre 2018
mercredi 14 novembre 2018
mardi 13 novembre 2018
lundi 12 novembre 2018
dimanche 11 novembre 2018
mardi 11 septembre 2018
vendredi 11 mai 2018
lundi 7 mai 2018
mercredi 2 mai 2018
mardi 1 mai 2018
mardi 10 avril 2018
mercredi 28 mars 2018
vendredi 23 mars 2018
jeudi 22 mars 2018
dimanche 18 mars 2018
mercredi 14 mars 2018
samedi 3 mars 2018
mardi 27 février 2018
mardi 9 janvier 2018
dimanche 31 décembre 2017
lundi 25 décembre 2017
samedi 23 décembre 2017
jeudi 21 décembre 2017
mardi 19 décembre 2017
lundi 11 décembre 2017
mardi 5 décembre 2017
mardi 28 novembre 2017
jeudi 23 novembre 2017
samedi 28 octobre 2017
vendredi 13 octobre 2017
mercredi 27 septembre 2017
vendredi 8 septembre 2017
jeudi 7 septembre 2017
mercredi 6 septembre 2017
Protéger les populations civiles contre les effets des hostilités
Un titre entier du Protocole I est consacré à ce domaine. Ces règles devraient désormais éviter à la population civile de grandes souffrances et des drames, comme ceux qui se sont déroulés pendant la deuxième guerre mondiale.
Pour protéger les civils contre le feu des armes, il n'existait, jusqu'en 1977, que des textes incomplets : la convention de la Haye, régissant la conduite des hostilités, date de 1907 - époque où l'aviation n'existait pas et où l'artillerie n'atteignait des objectifs que sur des distances relativement courtes ; pour sa part la IV° Convention de Genève de 1949, à l'exception de quelques règles générales, ne protège les civils que contre les abus de pouvoir de l'autorité ennemie ou occupante. Elle ne comprend aucune disposition relative à l'emploi des armes, à leurs effets et, notamment, aux bombardements massifs.
Par ailleurs, les trente dernières années ont vu surgir des conflits de types nouveaux - guerres de libération, tactique de la guérilla, utilisation d'armes perfectionnées et indiscriminées comme des armes incendiaires, les projectiles à fragmentation par exemple. La population civile, souvent mêlée malgré elle aux combattants, est donc rendue plus vulnérable. C'est pourquoi il est important de prévoir des normes juridiques de protection dans ce domaine.
Le Titre IV du Protocole I protège à la fois les personnes et les biens civils, lesquels sont définis par opposition aux objectifs militaires. Il est expressément indiqué qu'il est interdit d'attaquer la population civile en tant que telle - de même que les biens civils - et que seuls les objectifs militaires peuvent être l'objet d'attaques. Les bombardements massifs - tels ceux qui, pendant la deuxième guerre mondiale, ont causé des millions de morts - sont désormais prohibés, ainsi que les attaques lancées à titre de représailles. Les attaques sans discrimination, c'est-à-dire celles risquant de frapper indistinctement des objectifs militaires et des personnes civiles ou des biens à caractère civil, sont interdites. De même, il est interdit d'attaquer des localités ou des zones démilitarisées. Enfin, des mesures de précautions doivent être prises par les forces armées, afin d'épargner au maximum la population et les biens civils pendant les opérations militaires.
Quatre articles sont consacrés aux secours en faveur de la population civile - domaine intéressant la Croix-Rouge au premier degré. Selon ces dispositions, les parties au conflit doivent fournir les secours nécessaires à la population civile, ou, si elles ne sont pas en mesure de procéder elles-mêmes à son approvisionnement, doivent accorder le libre passage des denrées indispensables à sa survie. Cette règle s'applique en toutes circonstances, même s'il s'agit d'une population ennemie ou vivant en territoire occupé. Les modalités d'action comprennent des facilités pour les organismes de secours, ainsi que la protection du personnel spécialisé.
Ces articles complètent les dispositions du Protocole relatives aux biens civils, qui interdisent d'utiliser la famine comme méthode de guerre. En outre, les biens indispensables à la survie (zones agricoles, bétail, réserves d'eau potable, récoltes, ouvrage d'irrigation, etc.) sont désormais protégés, de même que les installations de forces dangereuses (centrales électriques et nucléaires, digues, barrages, etc.), les biens culturels et les lieux de culte. Enfin, les opérations militaires doivent être conduites de manière à protéger l'environnement naturel contre des dommages durables, étendus et grave.
Pour assurer une protection efficace des installations contenant des forces dangereuses, un signe de protection international a été adopté par la Conférence : il s'agit de trois cercles de couleur orange vif.
Un chapitre spécial a trait aux organismes de protection civile qui sont désormais protégés et on droit à des facilités d'action - y compris dans des territoires occupés. La nécessité d'identifier ces organismes a été soulignée et un signe spécifique - triangle bleu sur fond orange - leur a été accordé.
mardi 5 septembre 2017
lundi 4 septembre 2017
Missions d'urgence - Un hiver avec les sauveteurs du Mont-Blanc
Missions d'urgence - Un hiver avec les sauveteurs du Mont-Blanc
mercredi 30 août 2017
Les Sérères
Les Sérères (ou « Serer », « Sereer », « Serere », « Seereer », et parfois à tort « Serre ») sont un peuple d'Afrique de l'Ouest, surtout présent au centre-ouest du Sénégal, du sud de la région de Dakar jusqu'à la frontière gambienne. Ils forment, en nombre, la troisième ethnie du Sénégal, après les Wolofs et les Peuls ; environ un Sénégalais sur six est d'origine sérère. Quelques groupes sérères sont également présents en Gambie et en Mauritanie.
Les Sérères font partie, avec d'autres ethnies, des ancêtres des Wolofs. .... Ngom, Faye, Sène, Sarr, Senghor, N'Dour, Dione ou Diome, Bop, Dior, Diong, Ndong, Tine, Diene, Gningue, Thiandoum, Diokh, Thiaw, N'Diaye, Gadio. Les Sérères constituent l'une des plus anciennes populations de la Sénégambie.
Les royaumes précoloniaux sérères comprenaient le Royaume du sine et le royaume du saloum. Le royaume du Baol fut aussi gouverné par les Sérères pendant plusieurs siècles avant l'arrivée au pouvoir de la dynastie des Fall, soit avant 1549.
Auparavant le Baol était gouverné par la famille paternelle Diouf ainsi que par la lignée maternelle du Wagadou — des membres des familles royales de l'Empire du Ghana qui se marièrent dans l'aristocratie sérères. Les familles royales sérères contractèrent également des mariages dans les autres royaumes sénégambiens. Ils fournirent notamment des héritiers aux trônes du Djolof, du Baol, du Walo et du Cayor.
Les royaumes du Sine et du Saloum faisaient partie — de leur plein gré — de l'empire du Djolof, créé au XIV°. L'empire du Djolof était une confédération volontaire. Après la bataille de Danki en 1549, les royaumes sérères rejetèrent le joug du Djolof et retrouvèrent leur indépendance.
Les Sérères font partie, avec d'autres ethnies, des ancêtres des Wolofs. Ndiadiane Ndiaye, fondateur de l'empire du Djolof et ancêtre des Wolofs d'après la tradition orale, reçut son nom, N'diaye, des Sérères. Les Lébous et Toucouleurs sont également descendants des Sérères.
mercredi 23 août 2017
vendredi 11 août 2017
lundi 7 août 2017
dimanche 6 août 2017
lundi 31 juillet 2017
jeudi 20 juillet 2017
samedi 15 juillet 2017
Le déplacement du matérie de secours
Un
chef de détachement ne doit pas partir à l’aveuglette. Il sacrifie
quelques secondes au poste pour déterminer groso-modo son itinéraire.
C’est toujours le cas lorsqu’il s’agit d’une intervention hors secteur.
L’itinéraire direct n’est pas toujours le meilleur car il faut éviter, autant que possible, les routes en cours de travaux, les ouvrages d’art en réfection, les passages à niveau. Tous ces renseignements utiles doivent être connus et même notés chaque jour.
Pour se rendre à coup sûr et dans le minimum de temps sur le lieu du sinistre, il est indispensable de disposer, dans la voiture, de plans topographiques renseignés des communes du secteur, documents tenus constamment à jour, mentionnant les points d’eau, les routes, carrossables avec leurs obstacles, les postes téléphoniques, les lignes et postes à haute tension, il y a avantage à orienter les plans dans le secteur d’arrivée des secours.
Il peut être intéressant de faire précéder le détachement de secours d’une estafette motocycliste qui, sur les lieux de l’intervention, pour assurer – de plus – les liaisons.
On admet que le délai d’intervention des secours ne doit pas dépasser 20 mn. Dans la pratique, le rayon maximum d’efficacité d’un secteur est de l’ordre de 13 km ; ce rayon est réduit en pays montagneux.
Lorsqu’il s’agit d’un centre de secours urbain, disposant de sapeurs-pompiers professionnels ou permanents, les délais d’alerte sont plus courts mais l’encombrement des rues ralentit les déplacements des voitures.
Des exercices d’alerte permettent de contrôler les délais.
Mais il faut tenir compte aussi des délais incompressibles. C’est ainsi que pour établir une ligne de tuyaux de 100 m, il faut 1 mn. L’eau circule dans les tuyaux à la vitesse de 100 m. Un sapeur chargé de matériel s’élève de 10 m (deux étages) en une minute également.
La réussite d’une opération provient de l’économie de temps totale réalisée de l’alarme aux opérations de mise en œuvre des secours. Sur les lieux du sinistre, des minutes précieuses peuvent être gagnées avec un personnel bien entraîné, des chefs à la hauteur de leur tâche, un bon système de liaisons et transmissions. La rapidité de la mise en œuvre est également obtenue par l’application de mesures de prévision. Le règlement du service départemental recommande la reconnaissance des risques, la prévision des moyens pour les combattre (recensement des points d’eau, des postes téléphoniques, estimation a priori des secours nécessaires, etc.).
On peut dire que la réduction du délai d’intervention est un problème d’organisation et de préparation. Tout détachement de sapeurs-pompiers doit avoir le souci, la volonté et l’amour-propre d’arriver à temps sur les lieux d’un sinistre et de mettre en œuvre les secours avec célérité.
jeudi 29 juin 2017
lundi 26 juin 2017
mardi 13 juin 2017
jeudi 8 juin 2017
jeudi 1 juin 2017
vendredi 14 avril 2017
samedi 25 mars 2017
dimanche 26 février 2017
jeudi 23 février 2017
samedi 11 février 2017
lundi 6 février 2017
vendredi 20 janvier 2017
samedi 14 janvier 2017
vendredi 6 janvier 2017
mardi 3 janvier 2017
mercredi 21 décembre 2016
samedi 10 décembre 2016
mercredi 7 décembre 2016
mercredi 30 novembre 2016
mardi 29 novembre 2016
Matériels pour capture de petits animaux
Les
sapeurs-pompiers sont fréquemment appelés pour capture de petits
animaux domestiques, voire sauvages, éventuellement dangereux ; chiens,
chats, singes, oiseaux, reptiles.
Pour permettre au personnel d'intervenir dans les conditions de sécurité aussi totales que possible, les Corps de sapeurs-pompiers peuvent s'équiper d'un jeu de matériels suivants :
- une cage en bois, de 1m x 0,80 m x 0,70 m, avec dessus en grillage et un petit côté coulissant ;
- un lasso, constitué d'un tube en plastique assez rigide, de 3,50 m de long, dans lequel coulisse une cordelette, formant, à une extrémité, une boucle réglable manuellement depuis l'autre extrémité .
- une fourchette à deux dents, fixée à l'extrémité d'un morceau de bambou de 1,20 m de long ;
- une épuisette, à manche télescopique, agencée de manière qu'il soit possible de refermer le filet au moyen
d'une ficelle coulissante.
- une pince métallique de 1 m, avec commande d'ouverture et de fermeture à la poignée ;
- un filet de 2 m sur 3, lesté (genre épervier de pêcheur) ;
- un panier à salade avec corde de 10 mètres ;
- un extincteur à CO, pour neutralisation de petits reptiles ;
- une carabine tirant des projectiles-seringues hypodermiques
Pour permettre au personnel d'intervenir dans les conditions de sécurité aussi totales que possible, les Corps de sapeurs-pompiers peuvent s'équiper d'un jeu de matériels suivants :
- une cage en bois, de 1m x 0,80 m x 0,70 m, avec dessus en grillage et un petit côté coulissant ;
- un lasso, constitué d'un tube en plastique assez rigide, de 3,50 m de long, dans lequel coulisse une cordelette, formant, à une extrémité, une boucle réglable manuellement depuis l'autre extrémité .
- une fourchette à deux dents, fixée à l'extrémité d'un morceau de bambou de 1,20 m de long ;
- une épuisette, à manche télescopique, agencée de manière qu'il soit possible de refermer le filet au moyen
d'une ficelle coulissante.
- une pince métallique de 1 m, avec commande d'ouverture et de fermeture à la poignée ;
- un filet de 2 m sur 3, lesté (genre épervier de pêcheur) ;
- un panier à salade avec corde de 10 mètres ;
- un extincteur à CO, pour neutralisation de petits reptiles ;
- une carabine tirant des projectiles-seringues hypodermiques
jeudi 24 novembre 2016
mardi 22 novembre 2016
mercredi 16 novembre 2016
samedi 12 novembre 2016
mercredi 9 novembre 2016
samedi 5 novembre 2016
lundi 31 octobre 2016
jeudi 27 octobre 2016
mercredi 19 octobre 2016
dimanche 16 octobre 2016
Procédés d'extinction
L'extinction d'un feu peut être obtenue :
a)- Par étouffement :
L'oxygène étant indispensable à la combustion, il suffit, sauf cas particuliers, de soustraire le foyer du contact de l'air (un morceau de papier bien allumé enfermé dans une boîte, même en carton, s'éteint. L'air manque et y a privation d'oxygène. On obtient un résultat analogue en piétinant un tissu, une herbe sèche, une matière peu étendue en feu).
b) - soufflage :
Bougie, feux de puits de pétrole ou de forages de gaz naturel.
c) - Par refroidissement :
En ramonant le combustible qui brûle au-dessous de sa température d'inflammation.
d) - Par l'obstruction d'une conduite ou la fermeture d'un robinet :
Une fuite de gaz de ville enflammée est arrêtée soit en barrant au compteur ou au coffret, soit en aplatissant la conduite en plomb. Même mode d'action sur une canalisation d'essence, de gaz liquéfié.
e) - En coupant le courant électrique qui est une source de chaleur :
On peut arrêter ainsi la combustion des matières qui entourent ou voisinent la canalisation ou l'appareil électrique.
f) Par dispersion :
Les éléments constitués du foyer étant séparés les uns des autres, la température de l'ensemble s'abaisse et peut devenir insuffisante pour que la combustion soit entretenue. Le déblai, notamment, concourt à l'extinction par dispersion.
g) - En réduisant la part du feu :
On pratique une tranchée dans un tas de charbon pour séparer la partie qui brûle de la partie intacte. Le feu s'éteint de lui-même, faute de combustible.
En somme, on agit par ces procédés séparément ou en même-temps, sur les trois facteurs d'une combustion : le combustible (d et f), le comburant (e), la température d'inflammation (b, c, e).
samedi 15 octobre 2016
jeudi 13 octobre 2016
lundi 10 octobre 2016
dimanche 9 octobre 2016
samedi 8 octobre 2016
Inscription à :
Articles (Atom)