Elles
doivent d'abord concerner les enfants d'une part, par la fréquence des
noyades à la période des vacances et d'autre part la gravité des
séquelles neurologiques constatées en cas de survie.
Or la noyade d'un enfant est toujours due à un défaut de surveillance des adultes, elle se produit à la plage certes, mais également dans les piscines privées ou publiques, fleuves, les mares, etc...)
Chez l'adulte, habituellement, la cause de la noyade est évidente (insuffisance technique, épuisement traumatisme divers, etc...). Lorsque l'accident ne s'explique pas simplement, plutôt que d'évoquer la notion d'hydrocution, il faut soigneusement rechercher chez la victime une prédisposition aux pertes de connaissances. Celles qui sont le plus souvent retrouvées sont les comitialités, les troubles paroxystiques du rythme ou de la condition cardiaque, la prise d'antihypertenseurs ou de tranquillisants et enfin, l'absorption excessive d'alcool. Ainsi, la connaissance de ces causes prédisposantes, de la part des médecins, doit permettre la mise en garde de leurs patients, non seulement, après un premier accident, mais de préférence à titre préventif. Il est évident que l'apprentissage précoce et généralisé de la natation ainsi que l'information des secouristes et des surveillants de plages, doit jouer un grand rôle.
Enfin, l'interdiction stricte des plages classées "dangereuses", l'existence d'équipes de sauveteurs en permanence dans certaines plages très fréquentées permettraient peut être une prise en charge plus précise des victimes et par par la même, une amélioration du pronostic des noyades.
Or la noyade d'un enfant est toujours due à un défaut de surveillance des adultes, elle se produit à la plage certes, mais également dans les piscines privées ou publiques, fleuves, les mares, etc...)
Chez l'adulte, habituellement, la cause de la noyade est évidente (insuffisance technique, épuisement traumatisme divers, etc...). Lorsque l'accident ne s'explique pas simplement, plutôt que d'évoquer la notion d'hydrocution, il faut soigneusement rechercher chez la victime une prédisposition aux pertes de connaissances. Celles qui sont le plus souvent retrouvées sont les comitialités, les troubles paroxystiques du rythme ou de la condition cardiaque, la prise d'antihypertenseurs ou de tranquillisants et enfin, l'absorption excessive d'alcool. Ainsi, la connaissance de ces causes prédisposantes, de la part des médecins, doit permettre la mise en garde de leurs patients, non seulement, après un premier accident, mais de préférence à titre préventif. Il est évident que l'apprentissage précoce et généralisé de la natation ainsi que l'information des secouristes et des surveillants de plages, doit jouer un grand rôle.
Enfin, l'interdiction stricte des plages classées "dangereuses", l'existence d'équipes de sauveteurs en permanence dans certaines plages très fréquentées permettraient peut être une prise en charge plus précise des victimes et par par la même, une amélioration du pronostic des noyades.